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Les enfants non vaccinés sont en bonne santé !

mardi 29 janvier 2013, par Jean Luc Penet

Réflexions et recommandations d’après le Forum européen de vigilance vaccinale qui s’est tenu en 2011

Les médecins, même allopathes, commencent sérieusement à se poser des questions sur les vaccinations. Il est certain en tout cas qu’ils vaccinent moins leurs propres enfants que leurs petits patients. Une étude récente a montré que 50% d’entre eux se posent des questions sur l’utilité des programmes de vaccination, et 30 % sur la sécurité des vaccins.13

On entend très souvent de la part des parents :
-  »C‘est après son vaccin qu’il a commencé à tousser. »
-  »Depuis le vaccin, son nez n’arrête pas de couler. »
-  »Les enfants des voisins, vaccinés selon le programme officiel suivi par leur pédiatre sont, tout le temps malades… les miens, pas vaccinés, jamais…ou alors cela passe très vite. Ils n’ont jamais eu d’antibiotiques ».
-  »Ma fille de 16 ans n’a jamais reçu de vaccin. Quand elle est malade, cela dure deux ou trois jours ».

Ces témoignages personnels sont confirmés par plusieurs études et observations dans divers pays. En filigrane de ces études de la bonne santé des enfants non vaccinés se dessinent quelques fils conducteurs : naissance à domicile, allaitement prolongé, conscience holistique des parents, utilisation de thérapies « douces » qui respectent les symptômes et/ou alimentation végétarienne ou même végétalienne. Ces familles pratiquent souvent l’Hygiène Naturelle, l’obéissance aux lois de la nature, universelles. Le mot hygiène vient du grec hygieía qui veut dire « santé » ou « bonne vie ». C’est un style de vie qui préserve la santé physique, mentale et spirituelle. C’est aussi une façon de guérir, si la santé est altérée. Une alimentation mauvaise, le manque de sommeil et de repos, de lumière, de soleil, de mouvement, des températures extrêmes, un déséquilibre émotionnel, un manque de buts dans la vie ou des relations dites toxiques sont des éléments qui « volent l’énergie vitale ». Si nous sommes malades, la Nature exige le repos le plus absolu possible : repos physique au lit, repos du système digestif par le jeûne, repos du système nerveux par l’absence de travail et d’émotions. Tous médicament est nocif, car il entrave la guérison naturelle par la suppression des symptômes. Il est très important de respecter la fièvre, car c’est elle qui stimule le nettoyage du corps en brûlant les toxines ! La force médicatrice agit toujours en direction de la santé, pourvu qu’on la laisse faire…

Quelques exemples autour du monde.

En Hollande, l’association NPKV a étudié en 2004 un groupe de 635 enfants non vaccinés. Ils étaient globalement nettement moins malades que les enfants vaccinés.

En Angleterre, Michel Odent a publié deux études de groupes d’enfants non vaccinés contre la coqueluche. Dans les deux études, le risque de souffrir d’asthme est environ cinq fois plus grand chez les vaccinés.

Un groupe de pédiatres a étudié 14.893 enfants d’écoles Steiner de cinq pays (Autriche, Allemagne, Hollande, Suède et Suisse) en comparant la santé des enfants élevés dans le style de vie des anthroposophes avec un groupe témoin. Ces enfants sont moins vaccinés que la population générale et ont donc encore l’occasion de « faire leurs maladies d’enfance ». Ils se portent mieux que les autres.

En Allemagne, avant la chute du mur de Berlin en 1989, une des pédiatres de l’étude précédente, Erika von Mutius, avait comparé les deux populations séparées à l’époque par le mur. A l’Est, on décrit des familles plus nombreuses, une plus grande promiscuité, davantage de chats et de chiens… et une plus grande prudence dans la vaccination des enfants allergiques. Cette population souffrait alors de moins d’allergies qu’à l’Ouest. En effet, trop protéger les petits contre tout type d’infection les empêche de créer une immunité solide. Les enfants placés tôt en collectivité sont moins malades plus tard dans l’enfance. Ce type d’observation a fait dire à David Strachan, épidémiologiste fameux : « Donnez-nous aujourd’hui nos germes quotidiens… »

En Espagne, une étude a été conduite de 1975 à 2000 sur 314 enfants non vaccinés chez lesquels on note
- une majorité d’accouchements naturels à la maison ou en maison de naissance
- un allaitement prolongé
- pas de vaccinations
- l’utilisation de thérapies douces en cas de maladie
- un apprentissage d’autogestion de la santé.

Les parents trouvent que leurs enfants vont très bien et 3% seulement souffrent d’asthme (20 à 30% dans la population générale d’après les chiffres officiels).

Les frais de santé sont réduits : pas de vaccinations, peu de maladies, hospitalisations courtes.

Aux Etats-Unis dans la communauté des Amish qui ne vaccinent pas leurs enfants, le journaliste Dan Olmsted n’a trouvé que quatre enfants autistes (vaccinés ou exposés à des métaux lourds) alors que, dans une population standard aux Etats-Unis de même importance numérique, on aurait dû statistiquement en trouver 140.

Des élèves du regretté professeur de pédiatrie Robert Mendelsohn, auteur de « How to raise a healthy child despite your doctor » (Des enfants sains malgré votre médecin) travaillent dans leur groupe Homefirst à Chicago, depuis les années 70. Ils pratiquent des accouchements à domicile et suivent beaucoup d’enfants non vaccinés. Leur directeur médical, le Dr Mayer Eisenstein n’a pas connaissance de cas d’autisme dans sa clientèle, où on ne trouve pratiquement pas non plus d’enfants asthmatiques.

En Australie, en 1942, 85 enfants dont les mères ne pouvaient s’occuper correctement furent reçus dans une grande demeure à la campagne nommée Hopewood. L’alimentation était végétarienne et les enfants ne recevaient aucun médicament ni vaccin. Le Service de Santé officiel, inquiet, fit contrôler les enfants par plusieurs professionnels : le dentiste trouva vingt fois moins de caries que chez les enfants de la ville, l’oto-rhino-laryngologiste n’avait jamais vu d’amygdales et de végétations aussi tranquilles et le psychologue parla d’enfants remarquablement heureux et autonomes, malgré le fait que beaucoup d’entre eux n’avaient pas été nourris au sein ni maternés par leur mère.

En Nouvelle Zélande, on trouve deux études, faites en 1992 et 1999. La bonne santé des enfants non vaccinés est claire : moins d’allergies, mais aussi moins d’otites, d’angines, de rhumes persistants, d’amygdalectomies, d’épilepsie et de troubles du comportement, l’hyperactivité en particulier.

Au Mexique, à Tepozlan près de Cuernavaca se trouve un petit orphelinat où les enfants ne reçoivent que des traitements naturels et aucun vaccin. Ils ne sont jamais malades. Cet état de fait est malheureusement menacé par les autorités sanitaires…

L’étude KIGGS de l’Institut Koch et Angelika Kögel De mai 2003 à mai 2006, la plus haute instance de santé allemande, l’Institut Robert Koch, a réalisé une grande étude sur la santé physique et mentale de 17641 enfants et adolescents âgés de 0 à 17 ans, basée sur un questionnaire et une visite médicale. Les résultats publiés ne faisaient pas mention du rôle des vaccins. La statisticienne Angelika Kögel, déjà auparavant active dans le questionnement au sujet des vaccins, put se procurer début 2009 une copie de la banque de données. Même si certaines données concernant les vaccinations avaient été retirées et même si la distinction n’était pas faite entre les enfants négligés ou maladifs – et de ce fait moins vaccinés – avec ceux qui délibérément n’avaient pas ou partiellement été vaccinés, cette chercheuse a pu trouver des preuves éclatantes de la meilleure santé des enfants et adolescents non vaccinés. Ces corrélations entre le statut vaccinal et la santé sont statistiquement significatives.

Les enfants vaccinés, comparés aux enfants non vaccinés, souffrent presque deux fois plus souvent d’une névrodermite (dermatite atopique), plus de deux fois plus souvent de rhume des foins, cinq fois plus souvent d’une allergie au nickel. Les vaccinés portent plus souvent des lunettes, souffrent plus souvent de déficit d’attention et sont en traitement chez un logopédiste trois fois plus souvent que les non vaccinés. La réceptivité aux maladies infectieuses augmente à cause des vaccins, aussi bien pour les troubles de l’appareil digestif que pour de simples refroidissements ou des maladies plus graves comme les pneumonies ou les otites. Grâce à l’analyse des données informatiques recueillies pour l’étude KIGGS, il est prouvé que les enfants non vaccinés sont en bien meilleure santé et plus résistants.

Le cas du tétanos : Parmi les 17.641 participants à cette enquête, 217 n’étaient pas vaccinés contre le tétanos, ce qui représente 1,32% de ceux qui présentèrent leur carnet de vaccination ou indiquèrent qu’ils n’en possédaient pas. Le tétanos est la maladie la plus redoutée de la plupart des parents. Si l’on extrapole le taux des enfants et adolescents non vaccinés de notre étude à tous les enfants d’Allemagne âgés de 0 à 17 ans, il y en a bien plus de 100.000 qui ne sont pas vaccinés contre le tétanos. Malgré cela, et depuis des décennies, il n’y a eu aucun décès dû au tétanos dans ce groupe d’âge.

Les rares enfants qui, chaque année, d’après les statistiques des hôpitaux, contractent cette maladie (entre 0 et 4 enfants par an), sont traités avec succès. Le statut vaccinal des enfants malades n’est pas connu. Il y a certainement parmi les malades des enfants vaccinés.

Une étude internationale est en cours

Elle touche à l’automne 2011 plus de 8000 enfants non vaccinés et les résultats partiels en sont similaires aux exemples que nous avons cités. Il suffit au médecin d’encoder simplement les initiales de ses patients, dans le respect de leur anonymat et tranquillité. Voici le lien VERS LE QUESTIONNAIRE EN LIGNE http://www.vaccineinjury.info/vacci... (pour le français, passer la souris sur le i bleu).

Mortalité infantile à un an.

Une autre étude récente montre une corrélation directe entre le nombre de vaccinations que reçoit un enfant au cours de sa première année de vie et le taux de mortalité infantile (IMR) à un an.

Pourquoi les enfants non vaccinés sont-ils en meilleure santé que les vaccinés ? La réponse est multiple, citons trois points importants. –Pour les problèmes cérébraux et neurologiques, la faute est le plus souvent imputable aux adjuvants et métaux lourds contenus dans les vaccins, qui toxiques pour le système nerveux.

–Des impuretés contenues dans les vaccins, tel l’ADN, créent des réactions immunitaires de défense contre les propres éléments du corps, base des maladies auto-immunes (sclérose en plaques par exemple).

–Pour l’asthme et autres réactions allergiques, il est évident que le système de réponse immunitaire est malmené par les vaccins. Le corps humain se défend contre les germes naturels grâce à la peau et aux muqueuses, alors que le germes vaccinaux sont introduits directement dans la circulation sanguine. De plus, la nature n’a pas prévu de nous mettre dans la situation de nous défendre contre trois ou même six microbes différents le même jour.

Les défenseurs de la vaccination mesurent le taux d’anticorps sanguins spécifiques pour juger de l’efficacité d’une vaccination, mais ce n’est de loin pas le seul facteur d’immunité, car l’immunité cellulaire, très importante, ne peut être mesurée.

« La vaccination n’est pas une immunisation »

Précautions à prendre en cas de vaccin obligatoire

  • Il existe parfois des contraintes légales ou sociales qui empêchent les parents d’opter pour l’abstention vaccinale. Dans ces cas, il est important de connaître quelques règles, dans la logique du respect du système immunitaire.
  • Différer la vaccination en cas de maladie.
  • Ne pas renouveler un vaccin qui a déjà donné des réactions générales.
  • Ne pas abuser des vaccins combinés.
  • faire prendre le matin de la vaccination le nosode homéopathique correspondant au vaccin (en 30 K ou en 7 Ch).
  • « Bourrer l’enfant d’antioxydants », par exemple simplement des jus frais de légumes, à défaut avec une bonne quantité de vitamine C de bonne qualité.
  • Il est conseillé également d’appliquer un cataplasme d’argile au lieu d’injection.
  • Ne pas vacciner un enfant en état de stress émotionnel
  • Ne pas vacciner les jeunes filles en période prémenstruelle.
  • Retarder au maximum l’âge de la vaccination (Lorsqu’en 1975, le Japon décida de retarder l’âge des vaccinations à 2 ans plutôt que 2 mois, les taux de mortalité infantile devinrent les plus bas au monde. Une étude récente sur plus de 10.000 enfants montre qu’à l’âge de 7 ans, le nombre d’enfants asthmatiques est de moitié moins important si la première injection du vaccin DiTePer est retardée).

Qu’est-ce que le EFVV (Forum Européen de Vigilance Vaccinale) ?

Nous sommes un groupe d’experts européens en matière de vaccination. L’idée est née en 1998 et, depuis 1999, nous nous réunissons tous les ans pour faire le point sur la situation et discuter de stratégies futures. Pour certains pays il s’agit d’abolir toute loi obligeant les gens à se faire vacciner, pour tous il s’agit d’informer à la base les parents afin qu’ils puissent prendre une décision basée sur une information plurielle. Depuis 1999 où l’Espagne, la France, l’Angleterre, la Belgique, l’Allemagne, le Luxembourg et la Suisse s’étaient réunis, se sont ajoutés : les Pays-Bas, l’Italie, la Finlande et la Slovénie. Nous avons des contacts avec la Croatie où onze vaccins sont encore strictement obligatoires. Les autres pays sont invités à nous joindre.

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